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Instruction civique: LES RÉGIMES POLITIQUES
Le principe des régimes politiques, en prenant pour exemple concret la possession de 2 vaches...
SOCIALISME : Vous avez 2 vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous partagez le lait.
COMMUNISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.
FASCISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.
NAZISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune.
DICTATURE : Vous avez 2 vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusilllent.
FEODALITE : Vous avez 2 vaches. Le seigneur s'arroge la moitié du lait.
DEMOCRATIE : Vous avez 2 vaches. Un vote décide à qui appartient le lait.
DEMOCRATIE REPRESENTATIVE : Vous avez 2 vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.
ANARCHIE : Vous avez 2 vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.CAPITALISME : Vous avez 2 vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.
DEMOCRATIE DE SINGAPOUR : Vous avez 2 vaches. Vous écopez d'une amende pour détention de bétail en appartement.
CAPITALISME DE HONG KONG : Vous avez 2 vaches. Vous en vendez 3 à votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un " échange de lettres contre participation ", assorti d'une offre publique, et vous récupérez 4 vaches dans l'opération tout en bénéficiant d'un abattement fiscal pour l'entretien de 5 vaches. Les droits sur le lait de 6 vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d'une société des îles Caïman, détenues clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de 7 vaches. Au rapport de ladite société figurent 8 ruminants, avec option d'achat sur une bête> supplémentaire. Entre temps vous abattez les 2 vaches parce que leur horoscope est défavorable.MONDIALISATION: Vous avez 2 vaches. Vous vendez l'une, vous forcez l'autre à produire comme quatre, et vous licenciez l'ouvrier qui s'en occupait en l'accusant d'être inutile.
ECOLOGIE : Vous avez 2 vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse.
BUREAUCRATIE : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement publie des règles d'hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l'autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin, il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la vache manquante.
CAPITALISME EUROPEEN : On vous subventionne la première année pour acheter une 3ème vache. On fixe les quotas la deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la troisième année pour abattre la 3ème vache.
MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE : Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l'autre. La vache vivante devient folle. L'Europe vous subventionne pour l'abattre. Vous la donnez à manger à vos moutons.
CAPITALISME A LA FRANCAISE : Pour financer la retraite de vos vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt : la CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amies les bêtes). Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production de lait : le RAB (Remboursement de l'Ardoise Bovine). Les vaches se mettent en grève. Il n'y a plus de lait. Les Français sont dans la rue : " DU LAIT ON VEUT DU LAIT". La France construit un lactoduc sous la manche pour s'approvisionner auprès des Anglais. L'Europe déclare le lait Anglais impropre à la consommation. On lève un nouvel impôt pour l'entretien du lactoduc devenu inutile: le IDLQV (l'Impôt Du Lactoduc Qu'est Vide) etc, etc.........
REGIME CORSE : Vous avez deux cochons qui courent dans la forêt. Vous déclarez 20 vaches et vous touchez les subventions européennes.
FEMINISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.
SURREALISME : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d'harmonica. -
Nostalgie . . .
LES BONS VIEUX JOURS...
Toutes les personnes nées entre 1955 et 1980 (et avant...)se reconnaitront dans ce texte ,les autres devraient méditer . . .
La vérité c'est que je ne sais pas comment nous avons pu survivre à notre enfance !
En y pensant, il est difficile de croire que nous avons survécu :
On voyageait dans des voitures sans ceintures de sécurité, sans sièges spéciaux et sans Airbag, on faisait des voyages de 10-12H avec 5 personnes dans une Renault 4 ou une Mini et on n'avait pas le syndrome de la classe Touriste.
Nous n'avions pas des portes avec protections, des armoires ou des boites de médicaments avec des couvercles spéciaux pour enfants.
On allait à vélo sans casque, sans protections pour les genoux ni les coudes. Les balançoires étaient de métal avec des coins pointus et nous jouions pour voir qui était le plus fou.
On passait des heures à construire nos " véhicules " avec des bouts de roues pour descendre les côtes et alors seulement nous découvrions que l'on avait oublié les freins. Après s'être éclatés contre un arbre, on apprenait à résoudre le problème...
On jouait au " mouchoir " et aux " gendarmes et aux voleurs " et personne ne souffrait d'hernies ou de vertèbres déplacées.
On sortait de la maison le matin et jouait toute la journée, et on rentrait seulement quand les lumières de la rue s'allumaient. Personne ne pouvait nous localiser.
On cherchait du bois dans les poubelles ou n'importe où et on faisait des cabanes pour passer un moment dedans. Il n'y avait pas de portables. On se cassait les os et les dents et il n'y avait aucune loi pour punir les coupables.
On s'ouvrait la tête en jouant à la guerre avec des pierres et tout se passait bien, c'était des trucs d'enfants et on se soignait avec du mercurochrome et quelques points de suture et le jour suivant on était tous contents. La moitié de nos compagnons de classe avait le menton cassé ou quelques dents en moins, ou une bosse à la tête. On se battait et on se mettait sur la tronche les uns aux autres et on apprenait à le surmonter.
On allait en classe chargé de livres, tous mis dans un sac à dos qui, rarement, avait des renforts pour les épaules et encore moins souvent des roues !!!
On mangeait des bonbons et on buvait des sodas mais sans être obèses. Oui, des fois certains étaient gros, comme dans tous les groupes. On était toujours en train de courir et jouer en plein air. On partageait des boissons et personne ne tombait malade. On attrapait seulement des poux dans les cheveux, et nos mères arrangeaient tout ça en nous lavant la tête avec du vinaigre chaud.
On avait pas de Playstations, ni de Nintendo, de jeux vidéos, 99 chaînes de télé, des films en DVD, le Son Surround, des portables, des ordinateurs ni Internet, mais on s'occupait en lançant des bombes à eau et en se battant sur le sol, déchirant nos vêtements.
Nous, oui, on avait des amis. On se donnait rendez-vous et on sortait ensemble. Et si on n'avait pas de rendez-vous, on sortait dans la rue et là on se rencontrait et on jouait aux billes, à cache-cache ... que du high-tech ! On y allait en vélo ou en marchant jusqu'à leur maison et on appelait à la porte. Imaginez-vous ! sans demander la permission aux parents, et on allait seul, là, dehors, dans ce monde cruel ! sans personne de responsable !! Comment avons-nous fait ??
On inventait des jeux avec des bouteilles, des bouts de bois et des ballons de foot improvisés. On buvait l'eau directement du robinet dans les fontaines publiques où les chiens avaient bu ! On allait chasser des lézards et des oiseaux avec un fusil à plomb avant d'être majeur et sans adulte.
Aux jeux, à l'école, il n'y avait pas tout le monde qui participait.. Ceux qui n'y participait pas, devaient surmonter seul la déception. Quelques écoliers n'étaient pas intelligents comme les autres et devaient redoubler. Ils n'avaient pas inventé les examens de rattrapage !!!
On sortait avec des filles en les persécutant pour leur toucher les fesses et on jouait à leur faire des bisous, avec audace et pour de vrai !! On était responsable de nos actions et on assumait les conséquences.. Il n'y avait personne d'autre pour décider.
L'idée d'un père nous protégeant, si on transgressait une loi, était inadmissible, et si notre père nous donnait une correction ou une claque, on se taisait ...
On était libre, il y avait des hauts et des bas, des responsabilités et on apprenait à grandir avec tout ça.
Tu es l'un d'eux ?? Félicitations ! Parle donc de ça aux autres qui ont eu la chance de grandir comme des enfants, avant que tous ces minots qu'il y a maintenant ( qui n' ont de respect pour personne, pas d'éducation et qui se la jouent balèse) pourrissent le monde dans lequel on vit.
(merci à PITPIT)