03/06/2021.
Aucun désaccord politique ne peut justifier la violence. Le respect de nos institutions et de ses représentants est un principe fondamental de notre vie démocratique».
L'auteur de la gifle au Président estime que le peuple français s'exprime, mais n'est pas écouté mais avoue qu'il a cru que M.Macron voulait faire de lui un électeur . . . Tout est plus clair : on critique, on gifle mais on ne vote pas!
Il est dommage que pour son acte cet individu soit condamné ,entre autre, à la privation de ses droits civiques durant 3 ans. car s'il y a bien une façon démocratique de combattre un opposant ou de faire connaître ses choix ,c'est en déposant son bulletin de vote . Hélas pour lui, il ratera l'occasion en 2022 de pouvoir, peut être , mettre une "claque symbolique " aux espoirs politiques de M.Macron.
Pour certains, il est plus facile de vociférer que d'aller voter, pauvre démocratie, pauvre France ...